Alors que l’on pense voir la fin de la crise sanitaire, il est normal de se poser la question de l’après et des stratégies à adopter pour louer sans prise de risque excessive.

 

Malgré la crise sanitaire et les doutes autour de l’avenir de l’économie, de plus en plus de Français cherchent à investir dans l’immobilier et plus précisément dans l’investissement locatif. La pierre représente en effet une valeur refuge. Mais surtout, dans un contexte inflationniste, elle permet de protéger son patrimoine.

La plupart des ménages pourraient se voir dans l’incapacité de contracter des prêts pour l’achat de biens immobiliers. Ils devront donc se pencher sur la location, au profit des investisseurs.

Bien que les experts voient en cette période une opportunité pour l’investissement immobilier, il faut garder en tête que le rendement annuel brut du logement n’est pas le seul facteur à prendre en compte. En effet, les impayés de loyers ou la vacance locative peuvent nuire à la rentabilité du bien.

 

Il est donc important de prendre en compte la santé de l’économie locale, la croissance démographique, la possibilité d’une plus-value sur le long terme, et la profondeur du marché des locataires. Un investissement dans une grande métropole lilloise est un gage de sécurité sur le long terme car il remplit tous les critères énoncés ci-dessus.

Notamment, en cas de retournement économique, des villes secondaires telles qu’Arras, Calais, Valenciennes, risquent de voir l’immobilier dévaluer fortement, une métropole n’accusera qu’une baisse très faible, voir nulle. Egalement, il sera beaucoup plus facile de trouver des locataires de qualité dans une grande métropole.

LILLE : sur le podium des villes où investir en France.

Enfin, la ville de LILLE est sur le podium des villes où investir en France, car, en plus d’apporter les garanties d’une grande métropole, elle permet d’espérer une plus-value à long terme sur l’investissement, du fait d’un prix au m² très raisonnable à ce jour.

En conclusion, la rentabilité espérée d’un bien immobilier doit non seulement prendre en compte les loyers escomptés chaque mois, mais aussi la plus-value espérée sur le long terme.