En période de tourmente boursière, l’immobilier reste de marbre.
Car en plus d’être un marché décorrélé des marchés financiers, l’immobilier physique est avant tout un actif réel doté d’une valeur d’usage.
Une habitation répond au besoin simple et nécessaire de se loger. Avec 4 à 8% de rendement par an, l’immobilier locatif va encore continuer à tirer son épingle du jeu face à d’autres placements qui font les frais des taux faibles ou du mauvais temps sur les marchés.
Bien sûr, l’investissement dans l’immobilier doit s’envisager sur du long terme pour laisser le temps d’amortir les frais d’acquisition et permettre au bien de se valoriser.
Et notamment, à la différence de certaines villes comme Paris, Lyon, Bordeaux, Nantes ou Rennes, les prix lillois restent abordables et cohérents. Outre une revalorisation future, le prix d’acquisition raisonnable permet d’obtenir une meilleure rentabilité.
Les prix lillois restent abordables et cohérents. Outre une revalorisation future, le prix d’acquisition raisonnable permet d’obtenir une meilleure rentabilité.
Par ailleurs, les taux de crédit immobilier restent bas actuellement.
Ces taux bas, combinés à l’effet de levier lié à l’emprunt bancaires constituent une réelle opportunité pour se constituer ou développer un beau patrimoine immobilier.
Enfin, l’immobilier constituera un réel rempart contre l’inflation prochaine qui nous guette, compte tenu des milliards injectés pour redresser l’économie. En revanche, les placements actuels en assurance-vie, sur fonds euros, courent le risque réel de se réduire comme peau de chagrin.